• Briatexte

     

    Logo SCBC'est une saison singulière qui débute, pour la première fois depuis 10 ans, sans Jean Puech, « Nine », à la tête de l'équipe.
    Parti à Marssac, il a été remplacé par Jérôme Passebosc, toujours associé à David Tadritz. L'ouvreur va assurer les doubles fonctions de joueur et d'entraîneur dans un groupe qui a perdu Tissandié, Khattou et Malet, et qui a reçu le renfort de l'emblématique Jérôme Gilbert, de Roques et de Salem. L'ancien Zahir Boukemach, dont le départ à la retraite avait été fêté en fin de saison dernière, s'est laissé convaincre de rejouer un an de plus pour ne pas laisser le club doublement orphelin.

    Dans une poule mi-ariégeoise, mi-haut-garonnaise, de 2e série, le SC Briatexte a un bon coup à jouer, avec deux objectifs définis par Jérôme Passebosc. « Nous voulons revenir en finale de Midi-Pyrénées, la gagner cette fois et surtout, passer des tours supplémentaires en championnat de France ». Pour cela, les briatextois doivent terminer parmi les six premiers de la poule 2.

    Une ambition qui, compte-tenu du projet de jeu, ne paraît pas démesurée. « D'abord, les gars ont eu à s'astreindre à une grosse préparation physique. Mais, c'est surtout sur la technique individuelle, que la préparation de la saison repose. Ce secteur a été notre faiblesse les saisons précédentes. Nous sommes aussi adeptes du jeu de de déplacement, de la mobilité. Briatexte ne doit plus être qu'une équipe de défi et de jeu dans le petit périmètre ».

    Reste l'après-Nine. « Le message comme l'approche sont différents. Les gars ont l'air plus réceptifs, plus attentifs ».

    (Source : d'après l'article publié le 31 août 2011 sur ladepeche.fr.)

     


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  • Tarn

     

    Une véritable tragédie a endeuillé une famille de Sérénac (près d'Albi) ce lundi 29 août vers 11h30.

    Pisicne

    Un petit garçon âgé de 2 ans a chuté dans la piscine familiale en cours de construction, après avoir échappé à la surveillance de sa maman. Toutes les tentatives de réanimation sur l'enfant sont restées vaines. Transporté de toute urgence par le Samu jusqu'au centre hospitalier d'Albi, Il est décédé après son arrivée à l'hôpital.

    À l'instant où le drame s'est produit, la maman était seule avec l'enfant et sa toute jeune sœur. Le petit garçon serait sorti de la maison par une baie vitrée alors que sa mère s'occupait du bébé de six mois. Le couple venait d'entamer la construction d'une piscine enterrée d'une profondeur de 1,40 m. Le chantier n'étant pas terminé, les barrières de protection n'étaient pas encore posées et la piscine était à moitié remplie. Il a suffi de quelques secondes pour que la tragédie se déroule. Les gendarmes de la brigade de Valdériès sont saisis de l'enquête sur cet accident domestique.

    En juin dernier, à Rabastens, un enfant de 19 mois s'était également noyé dans une piscine. Il s'agissait alors d'une petite structure avec des boudins gonflables.

    La noyade est la première cause de mortalité chez l'enfant. Selon la Croix Rouge, une centaine d'enfants meurent noyés chaque année, essentiellement l'été et à la maison.

     

    (Source : d'après l'article publié le 30 août 2011 sur ladepeche.fr.)

     


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  • Graulhet

     

    La ville de Graulhet s'apprête à lancer de vastes travaux sur le site de la "Plaine de Millet", comprenant la création d'un cinéma, d'une crèche familiale, d'une passerelle piétonne reliant les deux berges du Dadou et dont la flèche culminera à 28 mètres de hauteur, et d'un aménagement paysager, le tout sur un site d'environ 5,5 ha.

    Graulhet, plaine de Millet (août 2011)
    (photo DDM)

    Côté calendrier, les études d'avant projet ont été approuvées par la municipalité et la communauté de communes Tarn et Dadou en juin, les retours des appels d'offres lancés en juillet sont attendus avant le 20 septembre et le lancement des travaux est prévu le 18 novembre pour une durée de 18 mois.

    Le montant des travaux s'élève aujourd'hui à 7,5 millions d'euros. Leur financement est assuré par la communauté des communes Tarn et Dadou, la ville de Graulhet et le Conseil régional de Midi-Pyrénées.

    Ce projet s'inscrit dans un programme de redynamisation du bassin graulhétois et de traitement des friches industrielles.

     

    (Sources : d'après photo et article publiés le 26 août 2011 sur ladepeche.fr.)

     


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  • Tarn

     

    Maxime Cppain,  vice-champion du monde de karatéUn Tarnais vice-champion du monde WJKA de karaté !

    Maxime Coppin a remporté la médaille d’argent aux derniers mondiaux, le 14 août 2011 à Wevelgem en Belgique.
    Et encore : ce petit gabarit d'1m66 et 51 kg ne s'est incliné que de peu en finale face à un colosse hollandais d'1m90 et 75 kg ! Un exploit qui doit rendre fiers tous les Tarnais... même si la discipline reste peu médiatisée (1000 licenciés dans le Tarn). 

    L’été 2011 n’a pas été de tout repos pour Maxime, sociétaire du club karaté de la MJC de Rabastens et Couffouleux, qui a passé quinze jours de préparation intensive avec le responsable du club.

    Une préparation axée sur le mental, sur la stratégie de combat, les balayages et les saisies. Et complétée par un stage au centre sportif de Bugeat (Corrèze), organisé par la Fédération Française de karaté en compagnie des membres de l’équipe de France.

    Un préparation qui a manifestement payé car Maxime décroche la médaille d’argent au championnat du monde de karaté WJKA et porte haut les couleurs du Tarn.

    Les championnats du monde WJKA, une des plus vielles fédérations de karaté, se pratiquent dans l’esprit originel où les points sont jugés sur l’efficacité et non pas sur la simple touche ; un point n’est comptabilisé uniquement que si les juges estiment qu’il peut mettre hors d’état de nuire l’adversaire. Ils se déroulent en toute catégorie de poids, pieds nus sans protège tibia et avec juste de petites mitaines aux poings.

    Après avoir obtenu sa ceinture noire à 14 ans, avec les honneurs du jury, Maxime Coppin enchaîne donc les victoires (il avait déjà remporté la coupe de France de karaté combiné kata et combat, tous styles confondus) et affiche un palmarès étonnant : treize médailles, dont neuf en or, en une seule saison ! Pour l’heure, Maxime et sa camarade Aurélie Grandin, 4 fois championne de France, préparent avec leur entraîneur l’Open international du Luxembourg et le championnat d’Europe WUKF qui aura lieu en Hongrie en octobre prochain.

    Gageons que le jeune sociétaire de la MJC n'a pas fini d'étonner son entourage.

     

    (Sources : d'après l'article publié le 24 août 2011 sur gaillacinfo.fr et les articles publiés le 21 avril et le 24 août 2011 sur ladepeche.fr, photo Lahouari Hamadi.)

     


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  • Tarn

     

    L'Association Graulhétoise de Sauvegarde des Animaux (AGSA) fait partie des organisations locales qui réalisent des prouesses avec peu de moyens.

    Née en septembre 1999 suite à la fermeture du chenil de Nabeillou, cette association située à Graulhet a pour but premier d'éviter la maltraitance et l'abandon d'animaux quels qu'ils soient. Mais son plus gros souci, confirment Colette Aliev, 66 ans, présidente de l’AGSA et Elisabeth Siadous, trésorière, ce sont les chats.

    Lutte contre l'abandon des animaux (été 2011)
    (photo wikipedia by Sepple)

    Colette Aliev fait quotidiennement le tour des quartiers et des chats signalés abandonnés pour les nourrir. « Et là, souvent, il y a confusion. Certains riverains pensent qu'avec nos méthodes nous faisons proliférer les chats. Notre intervention vise à maîtriser leur multiplication.»

    Recrudescence des abandons

    « L’an passé, j’ai amené plus de 150 chatons à l’association castraise "Les chats dans la rue" et une cinquantaine de chats ont été conduits chez le vétérinaire pour être stérilisés et tatoués. Moi-même, j’ai une bonne trentaine de chats chez moi. Entre mes propres chats et ceux qui sont dans la rue, je nourris chaque jour près de 70 chats », confie Colette.

    Alimentation, stérilisation, soins... Ces interventions, qui se multiplient l'été en raison de la recrudescence des abandons à l'approche des vacances, ont un coût que l'association arrive à supporter bon an mal an. En organisant des vides greniers par exemple (traditionnellement en mai), pour sensibiliser la population à l’importance de la stérilisation des chats tout en récoltant les fonds nécessaires à leurs actions. Mais également grâce à l'aide de généreux donateurs, qui apportent leur soutien (dons financiers ou dons de vaisselle, bibelots et meubles qui seront vendus lors des vide-greniers), ou comme les pêcheurs graulhétois qui donnent régulièrement les poissons non consommables à l'association. Enfin, la municipalité de Graulhet accorde chaque année une subvention de 900 euros pour soutenir cette cause.

    « Les propriétaires ne pensent pas toujours à faire stériliser leurs compagnons. Et un jour, ils se retrouvent débordés par les portées et les abandonnent. Nous proposons aussi aux gens de nous appeler en cas de problème avec leur chat et nous invitons ceux qui n'en ont pas à en adopter un plutôt que de l'acheter ». Car les occasions de dons ne manquent pas.

    Ces derniers mois, l'association a réussi à replacer 54 chatons. « Nous pouvons aussi aider les gens à retrouver leur chat perdu, tatoué ou pas. Par le fait de notre réseau de connaissances et de nos repérages. Ce n'est pas garanti, mais l'efficacité est prouvée. »

    ASSOCIATION GRAULHETOISE SAUVEGARDE DE l’ANIMAL (AGSA)
    SIADOUS Elisabeth
    05-63-34-56-63
    siadous@wanadoo.fr
    Défense des animaux, aide aux personnes démunies pour qu’elles puissent les garder, stérilisation des chats errants

    (Source : d'après l'article publié le 24 août 2011 sur ladepeche.fr et le site de la mairie de Graulhet.)

     

    Baisse des adoptions

    Même son de cloche du côté de la SPA d'Albi.

    Le refuge de la Société Protectrice des Animaux du Garric n'a en effet jamais accueilli autant d'animaux depuis sa création. 30 arrivées par mois en moyenne ! Le gros problème : la baisse des adoptions.

    « Jamais depuis la création du refuge du Garric, nous n'avons eu 200 chiens dans notre enceinte », se désole le directeur. Il jongle jour après jour pour trouver des solutions, permettre que les adoptions soient plus nombreuses. « Imaginez, nous avons accueilli 783 animaux en 2010. Pour 2011, nous en sommes déjà à 304. » La très grande majorité des pensionnaires sont des chiens et des chats. Reste l'exception, la curiosité. « Nous venons d'accueillir un furet. On a eu aussi des ânes, des moutons. »

    Ici, les animaux restent tant qu'ils n'ont pas trouvé un maître. L'euthanasie n'existe pas. « Certains chiens sont là depuis 4 ans. Il faut avouer que derrière des barreaux, c'est très long » reconnaît le directeur.

    Mais pour quelles raisons certaines personnes vont-elles jusqu'à abandonner leur animal ?

    « Les causes sont multiples. La crise économique, le divorce. Il y a aussi les propriétaires qui se lassent. Un chiot, c'est sympathique. En grandissant, il demande plus d'attention, de soins. Ces maîtres n'ont plus la volonté de leur consacrer du temps. » Une situation qui a tendance à rendre le directeur de la SPA irrascible. « On essaie par tous les moyens de les dissuader de ne pas les abandonner. Mais le plus souvent, leur décision est déjà prise. » Reste le balancier des adoptions. « Pour les jeunes chiots et chatons, pas de problème. C'est plus compliqué pour les vieux et grands chiens. Et pourtant. Ce sont ceux avec qui les propriétaires ont le moins de travail. Mais la mode des petits chiens a la vie dure. »

    Si vous désirez adopter un chien ou un chat, n'hésitez pas à vous rendre au Refuge du Garric (à la sortie du Garric, route de Valdériès), ouvert du lundi au samedi de 10h30 à 12h et de 14h à 18h. Tel : 05 63 36 51 92, e.mail : spa81@wanadoo.fr.

    Les animaux vous y attendent. Nombreux.

    (Source : d'après l'article publié le 9 juillet 2011 sur ladepeche.fr .)

     

     Au chenil municipal de Castres, le constat semble un brin plus optimiste. Si la présidente de l'Association castraise pour la protection des animaux se félicite du (léger) recul des abandons par rapport à l'année passée, elle constate que les adoptions ont également un peu régressé sur la même période. Sur 154 chiens accueillis entre mai et la mi-août, « une centaine sont repartis, 72 ont été repris par leurs propriétaires, 28 seulement ont été adoptés contre 48 en 2010 ».

    (Source : d'après l'article publié le 29 août 2011 sur ladepeche.fr .)

     


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